A nouveau défi, nouvel équilibre. Il était bien temps de
revoir mon régime alimentaire qui tournait trop souvent au mélange
chips-chocolat-sandwich-café. Ca ne mange pas de pain (c’est la cas de le dire)
pendant quelques jours mais à plus long terme cela commençait à provoquer des
déséquilibres énergétiques incompatibles avec une activité sportive exigeante,
ainsi que des troubles de digestion qui pouvaient se terminer tard dans la
nuit.
Après une séance de coaching/cuisine par une nutritionniste
dévolue au “manger sain” hypra bio et
plutôt végétarien, je tente la transformation en respectant les
précieuses recommandations. Je commence par éliminer toutes les crasses
habituellement grignotées en fin de journée. Zut, l’armoire en est encore
pleine, vite il faut inviter des amis qui ne font pas régime pour liquider tout
cela.
Ensuite, je mets le paquet sur les légumes, uniquement bio,
et cuit exclusivement à la vapeur pour garder les qualités des aliments.
Première conséquence, je me vide littéralement de
l’intérieur. C’est l’évacuation des toxines. En quelques jours c’est quand même
4 kilos qui disparaissent comme par miracle.
Ensuite j’essaie de centrer les volumes de nourriture sur le
repas du midi. Idéal, c’est souvent à ce moment là que je fais des Business
Lunch. Chic je vais dévorer la section “végétarien” de la carte du restaurant.
Le terme section est plutôt usurpé ici car en fait de choix c’est simple comme
disait Henry Ford : “les clients peuvent choisir la couleur qu’ils veulent tant
que c’est noir”. Un seul choix donc, pas d’hésitation à avoir. Il manque bien
sûr le côté goûtu de la viande saignante grillée mais il va falloir s’y faire.
Dans le même temps je diminue drastiquement la taille du
repas du soir, remplace les biscuits par les fruits et les tartines au chocolat
par des yaourts … bio.
Au final, mon niveau d’énergie est beaucoup plus stable dans
la journée, les fringales disparaissent et les 6 kilos qui on en définitive
disparus élargissent mon choix de vêtements dans ma garde robe.
Que du bon quoi !
Maintenant que le corps est prêt, il est temps de le
ré-entraîner. Je n’ai pas fait les 20 kilomètres de Bruxelles deux fois dans ma
vie sans qu’il reste de bonnes bases.
Allez, on se bouge les fesses et on court.